CAN 1998, la gifle de Jacques Songo’o
En 1998, le Cameroun est qualifié pour la CAN qui se tient au Burkina Faso. Le gardien Jacques Songo’o n’est pas au sommet de sa forme ; il est l’objet des critiques véhémentes des journalistes.
Lors du match contre la Guinée il encaisse deux buts. Les médias montent au créneau pour dénoncer cette contreperformance ; Jacques Songo’o est mis sur le banc de touches et est remplacé par Vincent Ongandzi. Parmi les journalistes qui le critiquaient avec acharnement, il y avait un certain Jean Lambert Nang .
A la fin de la compétition Jacques Songo’o va coincer Jean Lambert Nang dans un couloir; Lambert Nang va essayer de s’en fuir mais Songo’o va le rattraper et lui assener quelques gifles. La violence des gifles assénées par Jacques Songo’o fut telle que les traces de ses doigts étaient restées sur les joues du journaliste.
Histoire vraie et vérifiable !
Il se dit que c’est depuis ce jour que Jean Lambert ment a commencé à mentir comme un arracheur de dents ; peut-être que les gifles de Songo’o ont créé un dysfonctionnement dans sa tête. Oui mes chers amis; ne simplifiez pas le pouvoir des gifles. Tenez par exemple, après avoir été copieusement giflés par le terrible colonel Bamkoui, le Dr Fridolin NKE et Sébastien Ebala sont aujourd’hui méconnaissables