Le mouvement religieux Sukyo Mahikari, fondé en 1959 par un officier japonais, s’est discrètement implanté ces dernières années en Afrique de l’Ouest. Ses adeptes sont convaincus de l’existence d’une lumière divine capable de guérir les maux physiques et psychiques.
Au Sénégal, on compte un millier d’initiés. Comment expliquer l’attrait même timide pour ce mouvement religieux dans un pays à 90 % musulman, considéré par beaucoup comme une secte ?