Selon les faits rapportés par Canal 2 international, il revient à la commission électorale départementale d’annuler ou approuver le résultat des élections.

Un mort assassiné et un blessé grave, c’est le bilan des affrontements enregistrés il y a quelques jours entre les militants du Rassemblement démocratique du peuple camerounais(Rdpc) à Deuk dans le département du Mbam-et-Inoubou 5, région du Centre.
Le jeune cultivateur, le nommé, Assa Zock Serges, 39 ans et père de trois enfants perd sa vie à cause des contestations des résultats de l’élection des membres du bureau des organes de base du parti.
Réagissant au microphone de notre confrère, un militant appelle au respect des urnes : « Nous disons non, nous ne voulons pas la rébellion sachez que nous ne voulons pas entrer dans le maquis. Nous voulons que tout se passe dans la transparence comme ça a été fait dans les bureau de vote », a-t-il souhaité.
Voilà qu’un autre travers vient d’être posé par des membres du parti au pouvoir qui devraient pourtant servir de parangon pour les autres partis dits d’opposition. A Bengbis dans le Sud, des militants ont incendié la résidence du sous-préfet. A Bagangté dans la région de l’Ouest, la maison du parti a été saccagée par des vandales et la listes est loin d’être exhaustive.