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Richard Bona : « Je n’appartiens pas au MRC »

Richard Bona BBC

Richard Bona a été l’invité de l’émission musicale « C’est le moment » présentée par Ata Ahli AHEBLA dans le cadre d’une chanson enregistrée en hommage aux victimes de cette attaque. Il a aussi profité pour faire des clarifications par rapport au MRC et son leader.


Richard Bona BBC
Richard-Bona – © REBECCA MEEK

Massacre de Ngarbuh : L’indignation de Richard Bona

Le 14 février 2020, 23 personnes avaient été tuées, dont 15 enfants et deux femmes enceintes à Ngarbuh, selon un bilan de l »ONU. Le bassiste et chanteur camerounais Richard Bona a fait part de son indignation face au massacre de Ngarbuh dans la région du nord-ouest du Cameroun.

« J’ai eu envie d’écrire pour qu’elles ne soient pas oubliées, pas seulement en tant que musicien mais aussi en tant que père, parce qu’il il y a eu des enfants parmi les civils » a expliqué l’artiste.

Richard Bona au chevet des victimes de Ngarbuh

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L’artiste a révélé que la moitié des revenus générés par la chanson sera reversée aux victimes ainsi qu’à la lutte contre l’épidémie de coronavirus à travers « Cameroun Survival « , une initiative lancée par l’opposant Maurice Kamto.

Richard Bona ne soutient pas Maurice Kamto de manière partisane

Souvent critique vis-à-vis du gouvernement camerounais, Richard Bona s’est défendu de tout soutien partisan à l’opposant. « C’est juste une action humanitaire, une position de patriote. Je n’appartiens pas à son parti et je ferai la même chose si c’était le gouvernement », a déclaré Richard Bona dans l’émission « C’est le moment « .

Le débat autour du Covid-organics : l’avis de Richard Bona

Richard Bona s’est prononcé dans C’est le moment sur « sur la polémique autour du COVID-ORGANICS », que le président malgache Andry Rajoelina présente comme un remède contre le coronavirus. « Il faut qu’ils acceptent qu’il y ait d’autres types de médecines centenaires voire millénaires différentes de la médecine dite conventionnelle et qui font leur preuve », déclare-t-il.

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« J’ai grandi au village et on n’avait pas accès à la médicine conventionnelle. A 9 ans, j’ai été mordu par un mamba noir, ma grand-mère m’a extrait le venin et j’ai guéri après 9 jours de traitement », raconte Richard Bona dans l’émission présentée par Ata Ahli Ahebla.


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