Samuel Eto’o Fils ne veut pas pardonner au journal La nation d’Afrique. Il rejette les excuses du directeur de publication du journal sanctionné par le Conseil National de la Communication et menace de trainer l’affaire plus loin.
On se souvient après des révélations dans le journal La Nation D’Afrique, sur une prétendue brouille entre le footballeur et les autorités gabonaises, Joseph Janvier René Mvoto Ebounou, le vice-président du Conseil national de la communication ( CNC), a porté à la connaissance de l’opinion publique, le mercredi 26 avril 2017, les sept sentences rendues par l’instance autonome de régulation au terme de sa session du 06 avril 2017 avec l’un des verdicts sur l’affaire Samuel Eto’o fils contre le journal « La Nation d’Afrique ».
«Je continue de m’interroger sur comment une telle erreur a été commise par l’un de mes plus brillants collaborateurs, surtout un grand supporter du «pichichi». Aussi sollicitons-nous votre indulgence après des faits qui n’ont pas été vérifiés. Solidairement (mon collaborateur et moi), nous vous présentons toutes nos excuses. Nous sommes prêts à publier dans notre prochaine parution notre lettre d’indulgence», avait écrit Serge Sabouang à l’intention du «Grand 9» pour s’excuser.
L’ancien capitaine des Lions indomptables du Cameroun a répondu au directeur de publication Serge Sabouang dans un post publié sur sa page Facebook le samedi 29 avril 2017.
La réaction de Samuel Eto’o ne s’est pas fait attendre : «Je n’ai pas besoin de vos excuses, car je vous avais prévenu. Il ne fallait tout simplement pas accepter l’argent qu’on vous propose pour me salir. Maintenant il va falloir assumer, je vous attends au pénal», a-t-il menacé.
Affaire à suivre…