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« Samuel Eto’o aime qu’on lui dise qu’il est beau et qu’il est fort » : le consultant Blériot Nyemeck charge son « frère »

Bien qu’ils appartiennent à la même communauté sociologique comme il a coutume de le rappeler, Blériot Nyemeck a choisi de ne pas être tendre avec Samuel Eto’o au vu des récents évènements à la Fédération.

Pierre Bleriot Nyemeck
Pierre Bleriot Nyemeck sur le plateau de Vision 4 (c) Vision 4

Pierre Blériot Nyemeck critique le management de Samuel Eto’o la tête de la Fecafoot. Lors de son analyse des de la récente affaire Henri Njalla Quan relayée par Lebledparle.com, il a souligné que Samuel Eto’o pense être une personne capable de tout résoudre par sa seule force.

« Ce que je reproche à Samuel Eto’o Fils, c’est qu’il n’a pas les qualités d’un bon manager et qu’il n’écoute pas. Il ne prend pas en compte les conseils de ceux qui pourraient l’aider. Il aime entendre qu’on lui dise qu’il est le plus beau, le plus fort, qu’il pourrait même affronter Ngannou. Mais il ne pourrait pas battre Ngannou », a déploré le consultant lors de l’émission « Libre Expression » sur Info Tv. Il reconnaît cependant que depuis sa prise de fonction à la tête de la Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o Fils a accompli plusieurs actions positives en faveur du football camerounais. « Je n’ai jamais dit que toutes les actions de Samuel Eto’o Fils étaient mauvaises », affirme-t-il.

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Samuel Eto’o reste serein

Face aux critiques tous azimuts, le quadruple Ballon d’Or semble garder la tête haute, en témoigne sa sortie sur Instagram dimanche.  « De quel football parle-t-on ? De quelle gestion parlons-nous ? De quel mensonge parlons-nous ? Le football ne sera plus jamais le même. Le chantage et autres n’ont plus leur place. Les employés de la fédération sont payés, pourtant la fédération a connu d’intellectuels. Je viens de New Bell et en est fier. Quant au mensonge, n’oublions pas que vous étiez à genoux et que la seule chose qui vous préoccupait était votre carrière pendant que nous nous efforcions de réussir pour 28 millions de Camerounais. L’instruction ne veut pas dire qu’il n’y a pas de faute. Blablabla », écrit un Samuel Eto’o,visiblement serein.

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