Le mal nécessaire ?
La publication barrée du titre « La critique est aisée mais l’art est difficile », consultée par Leblebparle.com est clairement le témoignage du soutien sans limites de l’analyste sportif Jean Emmanuel Mahop de la chaîne Canal 2 international à Samuel Eto’o. « Tout cycle connaît une fin. Toute roue tourne. Chacun voit midi et minuit à sa porte. Toutes les Grandes Réalisations sont précédées de cuisants échecs. Ne dit-on pas que l’on ne fait point d’omelette sans casser des œufs ? Et si c’était la traversée du désert du football camerounais ? Évidemment que l’on n’y pourrait rien. Certes la situation que vit notre football depuis quelques mois au travers de ses sélections nationales de toutes les catégories des deux genres n’est point reluisante.
Samuel Eto’o, un mal pour un bien ?
À condition de prendre conscience, de faire une introspection, de cibler le mal et d’assainir si tant est que ce n’est pas la fin d’un cycle. Certains manquements sont observés, il y a malgré tout une lueur d’espoir. La tradition bantou dont je me réjouis d’appartenir interdit que l’on impute la faute ou l’erreur au Chef, mais plutôt à ses proches à raison ou à tort, proches somme toute choisis par le souverain. C’est le cas en haut lieu, c’est le cas chez les garants de nos traditions, ça l’est également pour la Fecafoot.
L’échec est le fondement de la réussite
La persévérance est ce qui rend l’impossibilité possible, le possible probable et enfin le probable réalisé. Quoiqu’on dise, le Président de la Fédération Camerounaise de Football Samuel Eto’o fait partie du patrimoine national, et comme le firent les français pour le triple ballon d’or Michel Platini, aidons le à atteindre les objectifs de sa mission ô combien complexe de la restructuration de notre sport roi. DIEU veille. DIEU élève. », a écrit le journaliste.