Dans un communiqué paru à la presse ce 21 février 2022, sieur Kamanou Tawamba Célestin manifeste son indignation à la suite des propos tenus par sieur Valère Bessala à son encontre, sur le plateau de Club d’Elites sur Vision 4 hier.
Après le limogeage de l’un de ses consultants, Dieudonné Essomba pour « récidive », voici que Vison 4 est au bord d’une poursuivre judiciaire. En effet, dans un communiqué diffusé ce 21 février 2022, Célestin Tawamba déplore que la chaine de Jean Pierre Amougou Belinga par le biais de l’émission dominicale Club d’Elites, ait « offert sa tribune » à Valère Bessala de s’en prendre » à lui pour des raisons qu’il ignore : « Cet individu a tenu, à l’encontre de ma personne, des propos qui au-delà de leur caractère mensonger et grossier, sont particulièrement dégradants et diffamatoires », dénonce-t-il.
En substance, illustre le président du Groupement inter patronal du Cameroun(Gicam), « Monsieur Valère Bessala s’est permis d’affirmer que je ne serais qu’un – bayam selam international -, et avec moi, tous les opérateurs économiques de nationalité camerounaise », lit-on.
Comme si cela ne suffisait pas, « il a en outre prétendu que les concours bancaires liés à la création et /ou au développement de la PASTA SA, ainsi que de deux autres entreprises du groupe CADYST, INVEST SA, n’ont été possibles qu’avec l’appui de l’Etat du Cameroun et de certains membres du gouvernement qui seraient d’ailleurs actionnaires de ces sociétés », énumère le président du groupe CADYST, INVEST SA qui comprend en son sein, entres autres entités, les sociétés La Pasta, Panzani.
Dans la même veine, « poursuivant son entreprise de calomnie, Monsieur Valère Bessala a induit que ces entreprises n’existeraient qu’en raison de ma prétendue appartenance au parti politique Rdpc », ajoute l’entrepreneur.
Sous ce rapport, « Je tiens par les présentes, à exprimer publiquement mon indignation face à de telles imputations dégradantes et diffamatoires, qui jettent le discrédit non seulement sur ma personne, mais aussi sur les entreprises que je dirige, et surtout sur le patronat camerounais dont je préside aux destinées, à travers le Gicam », s’est offusqué l’homme d’affaires.
Célestin Tawamba fait savoir que de telles accusations par voie d’un organe de presse ne sauraient rester « sans réaction légale ». Aussi annonce-t-il dans les prochains jours, la mise en œuvre d’une procédure de droit de réponde que lui reconnait la Loi et n’exclue pas la « procédure pénale prévue par la Loi contre tous les auteurs complices de tels agissements », a-t-il conclu.