Célestin Djamen dans une tribune libre commise dans les réseaux sociaux le 24 aout 2021, s’interroger sur la disparition de Christian Penda Ekoka, ancien allié de Maurice Kamto. Dans son texte, l’homme politique essaye d’établir les responsabilités de ce décès non sans jeter du discrédit sur certains militants et sympathisants du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun.
Lebledparle.com vous propose de lire la reflexion de Celestin Djamen
Qui a tué Christian Penda Ekoka ?
Sans vouloir pérorer sur la philosophie morale ou sur les forces chiasmatiques qui hantent l’homme ou l’animal politique, force est de constater que parfois la compassion, l’empathie, l’encouragement ou encore la reconnaissance…peuvent constituer des facteurs essentielles pour la restauration d’une santé à la dérive quel que soit la maladie identifiée.
À l’opposé, les maux (physiques)…peuvent être accélérés ou aggravés par des attitudes mortifères, des paroles assassines sur des corps affaiblis ou non d’ailleurs.
En ce sens, comprendre la cause des maux…me semble déterminant notamment pour nous acteurs politiques. J’ai la chance d’être blindé contre l’incurie et la folie furieuse de la meute, dévergondée par l’ethno-fascisme, véritable CANCER en politique.
Nous n’en avons peut-être pas conscience, mais toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que vous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de notre corps et empirer, jusqu’à la mort, un mal pourtant bénin.
Suis-je le premier à démontrer que les émotions génèrent des symptômes physiques ? Qui ignore que la Peur, L’Angoisse, donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites… ? Qui ignore que le stress peut occasionner un ulcère et qu’un mal comme le cancer du pancréas peut être aggravé par des émotions fortes etc. ?
J’en viens alors à me questionner au vu de ce qui précède, qu’est-ce qui a tué ou qui a tué Christian Penda Ekoka ?
Nul ne peut contester la diarrhée verbale orchestrée par les « Djihadjistes » politiques, chrétiens ou musulmans du Cameroun et de la Diaspora dont a été victime le Grand Christian.
Nul ne peut contester que ces Afghans n’aient jamais été rappelés à l’ordre par leur Imam.
Nul ne peut contester que mon frère Christian ait pu être victime de la plus haute des trahisons : le crime contre l’amitié. Justice sera rendue tôt où !
Celestin Djamen