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Au cours de l’émission, Albertine Bitdjaga avec ses invités sont revenus sur les élections sénatoriales et le tribalisme manifesté dans la ville de Douala.
Le Guide du parti politique Jouvence est revenu sur le concept de tontinard dans le sillage des élections présidentielles de 2018 au Cameroun. « Tontinard a été créé par quelqu’un qui n’est pas de l’Ouest. Le tontinard ne dit pas que c’est quelqu’un de l’Ouest. Le tontinard c’est celui qui a le souci de demain, c’est celui qui a le souci des autres. Le sardinard ne pense qu’à lui. C’est le collabo du système », explique Valere Bessala dans Canal Presse.
L’homme Bamileké : un frondeur ?
Au sujet de l’évocation du tribalisme, il est revenu sur ce qu’on peut appeler la question Bamileké. « Selon le colon, l’homme bamiléké avait été fiché comme un frondeur. Il était parmi les plus éveillés quant aux questions de nationalisme, pendant que les autres peuples s’aplatissaient. Que ce soit donc par le pouvoir colonial et postcolonial, l’homme Bamiléké a été longtemps exclu des affaires de gestion de l’Etat », déclare l’Administrateur Civil.
Valère Bessala dans Canal Presse sur Canal 2 International dit n’avoir pas regardé le match des lions indomptables du vendredi 24 mars 2023, soldé par un score de parité un but partout. « Je n’ai pas regardé le match des Lions indomptables face à la Namibie. J’estime que nous avons mieux à faire au Cameroun. Ce qui m’intéresse c’est l’élucidation de l’affaire Martinez Zogo. Ce qui m’intéresse c’est que le président tienne sa parole par rapport à la jeunesse (…) Le football c’est terminé pour certains. Nous restons focus sur la politique, sur la douleur des Camerounais », affirme Valère Bessala dans Canal Presse.
