in

Valsero dézingue Mimi Fawaz : «Je suis sûr qu’il y a d’aussi gros moustiques au Nigeria…tourne 5 fois ta langue dans ta bouche avant de parler»

Fawz

Dans la polémique qui oppose Mimi Fawaz aux internautes concernant une sortie jugée indélicate de la journaliste de BBC à propos des moustiques dans son hôtel, le rappeur a pris la défense de son pays.

Fawz
Valsero et Mimi Fawaz (c) Collage photos

Valsero dans un vidéo publié le 19 août sur les réseaux sociaux, a désapprouvé le tweet critique de Mimi Fawaz au sujet de ses conditions de logement au Cameroun. «Je suis sûr qu’il y a d’aussi gros moustiques au Nigéria…Le Cameroun n’est pas un pays parfait mais nous avons suffisamment de bouches pour le dire. On n’a pas besoin d’aide. Mieux de toi tu as joué la nuit avec des moustiques…Parfois il faut la boucler », a déclaré l’auteur de Lettre à mon président.

Pour approfondir :   Affaire Martinez Zogo : Amougou Belinga fond en larmes après son nouvel échec de libération sous caution

Le silence recommandé

« Chez nous Mimi Fawaz on dit chez nous que si ce que tu vas dire ne dépasse pas le silence…ferme ta gueule. Le Cameroun n’est pas ton marchepied. Le Nigéria n’est pas mieux…Nous sommes là pour parler des problèmes du Cameroun. Nous avons la bouche. Nous avons encore la dignité de parler nous-mêmes de nos problèmes. On n’a pas besoin d’avoir des hauts parleurs et encore qu’avoir des moustiques dans un hôtel, dans tous les pays du monde, et là, j’ai vraiment horreur de faire l’avocat du diable, mais dans tous les pays du monde on peut croiser un moustique dans un hôtel», poursuit l’artiste.

Pour approfondir :   Le Consul général du Tchad à Douala nommé Secrétaire particulier de Mahamat Idriss Deby

 «Tourne 5 fois ta langue dans ta bouche, journaliste Mimi Fawaz before you say something…Je tenais à te le dire», a conclu le rappeur.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Une autre journaliste de Vision 4 sanctionnée !

Facaul

Cameroun : En attente de dialyse, un enseignant de l’Université de Ngaoundéré meurt dans un train