Selon la Banque Africaine de Développement la sous-région bénéficie de la croissance économique mondiale, de la hausse des prix du pétrole, des réformes macroéconomiques et de ses ressources naturelles.
Cette sous région qui est composée di Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad) et la République démocratique du Congo, soit une superficie de 5,4 millions km² et près de 138 millions d’habitant devrait connaitre une augmentation de son PID de 2,2% en 2018 à 3,6 % en 2019.
Cette augmentation pourrait suivre, « Si elle bénéficie de la croissance économique mondiale, de la hausse des prix du pétrole, des réformes macroéconomiques et de ses ressources naturelles» Souligne le quotidien le jour dans son édition en kiosque ce 8 avril 2019,
Cependant souligne le journal « La région devra aussi relever certains défis liés à la situation sécuritaire; à un possible retournement de conjoncture et une baisse des cours du pétrole; un besoin de diversification économique, une amélioration du climat des affaires et de la gouvernance, et le développement du capital humain. Pour toutes ces raisons, le PIB de la région pourrait stagner à 3,5 % en 2020».
Selon la BAD, l’Afrique centrale demeure l’une des régions les moins intégrées du continent trois pays dans la région jugés en situation de fragilité: la République centrafricaine, la République démocratique du Congo et le Tchad. Les quatre autres pays sont perçus comme étant plus résilients, même s’ils présentent aussi des poches de fragilité».