in

[VIDEO] le Rappeur One Love plaide sa cause auprès de la diaspora camerounaise

One love teaser rap boko haram
One Love dans le clip "Boko Haram, tu ne nous peux pas" (Capture You tube)

Le musicien urbain camerounais, auteur du récent titre « Paul BIYA doit partir », dans une vidéo en circulation dans les réseaux sociaux, a appelé ce lundi 29 la diaspora camerounaise à se pencher sur sa situation au moment où celle-ci a lancé une campagne de boycott des concerts des artistes à la solde du système en place, a constaté Lebledparle.               

                            One love teaser rap boko haram

One Love – DR

 « Qu’en est-il de nous, particulièrement de moi qui ai chanté « Paul BIYA doit partir » et d’autres chansons contre le système en place. Est-ce que vous allez m’inviter moi ? », demande le rappeur, poète et écrivain à la « diaspora des USA, du Canada, de l’Europe, de l’Océanie et même de certains pays d’Afrique et d’ailleurs… », de laquelle il attend un réponse.

Pour approfondir :   Covid-19 : Penda Ekoka annonce la libération des volontaires de Survie Cameroun

Le jeune prodige rappelle que pour un artiste, « il faut pouvoir prendre position », ce qu’il dit avoir fait au péril de sa vie, raison pour laquelle la « chère » diaspora devrait se pencher égard sur son cas particulier.

Il ne lésine par ailleurs pas sur des compliments pour flatter une diaspora très en colère contre certains artistes (musiciens et comédiens) qui soutiennent ouvertement le régime de Paul BIYA qui vient de rempiler pour un septième mandat après 36 ans de règne à la tête du Cameroun.

Pour approfondir :   Maurice Kamto : « Amobé Mevegue était un africain dans l'âme »

">{/source}

 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Celestin Bedzigui lettre Paul Biya 1

Célestin Bedzigui : « Le pas décisif serait la création d’une monnaie Cemac qu’on nommerait le Fako »

Grace Baleba

Une camerounaise détenue par la police pour avoir apporté à manger aux manifestants du MRC