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Xavier Messè : « Il faut que tout Africain prenne son arme (…) pour accompagner Luigi Di Maio au front du combat pour la libération de l’Afrique »

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Sur sa page Facebook ce jeudi 24 janvier, Xavier Messè, promoteur de la chaine de télévision web HTV a commis une chronique dans laquelle il semble partager le point de vue du vice-président du Conseil des ministres italien et dirigeant du Mouvement cinq étoiles (M5S), Luigi Di Maio au sujet du FCFA. 


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Xavier Messè – DR

Dans sa réflexion donc la pertinence se laisse transparaitre, le journaliste démontre, point par point les méfaits de cette monnaie qui serait une source d’appauvrissement du continent africain. Une sortie très appréciée par ses suiveurs, qui n’ont pas hésité de loué sa verve.

Lebledparle.com vous invite à lire par vous-même, cette chronique de l’ex-directeur de publication du journal l’Anecdote.

 » Le courage

L’Italie demande que l’Union européenne sanctionne la France pour le Franc CFA et la colonisation des pays africains.

Le vice-président du Conseil des ministres italien et dirigeant du Mouvement cinq étoiles (M5S), Luigi Di Maio, a appelé l’Union européenne à instaurer des sanctions à l’encontre des pays qui, selon lui, « appauvrissent l’Afrique » et sont ainsi à l’origine de la crise migratoire, dont la France figure en tête de liste. Il dit : « L’UE devrait sanctionner la France et tous les pays qui comme la France appauvrissent l’Afrique et font partir ces personnes [les migrants, NDLR], parce que la place des Africains est en Afrique pas au fond de la Méditerranée », a-t-il déclaré dimanche, lors de son déplacement dans les Abruzzes.

Selon lui, « certains pays européens, la France en tête, n’ont jamais cessé de coloniser des dizaines de pays africains ». Di Maio estime également que la France qui « imprime une monnaie, le franc des colonies », dans « des dizaines de pays africains », finance ainsi sa dette publique.

« Si la France n’avait pas les colonies africaines, parce que c’est ainsi qu’il faut les appeler, elle serait la 15e puissance économique mondiale, alors qu’elle est parmi les premières grâce à ce qu’elle est en train de faire en Afrique », a-t-il conclu.

Il a donc annoncé « une initiative parlementaire du M5S dans les prochaines semaines », impliquant notamment le gouvernement et les institutions européennes, visant « à sanctionner tous les pays qui ne décolonisent pas l’Afrique ».

Pour approfondir :   Appel à l’insurrection populaire au Cameroun : La journaliste Madeleine Soppi Kotto recadre Maurice Kamto

Ce ne sont pas de simples paroles en l’air. Le vice-premier ministre italien Luigui Di Maio annonce que la France sera bientôt convoquée devant le Conseil de l’Union européenne pour être sanctionnée pour des crimes d’« esclavage » à l’origine de l’immigration.

C’est d’abord le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini qui avait accusé Paris en octobre 2018, de renvoyer les migrants en le vice-président du Conseil des ministres italien et dirigeant du Mouvement cinq étoiles (M5S), Luigi Di Maio, a appelé l’Union européenne à instaurer des sanctions à l’encontre des pays qui, selon lui, « appauvrissent l’Afrique » et sont ainsi à l’origine de la crise migratoire, dont la France figure en tête de liste.

« L’UE devrait sanctionner la France et tous les pays qui comme la France appauvrissent l’Afrique et font partir ces personnes [les migrants, NDLR], parce que la place des Africains est en Afrique pas au fond de la Méditerranée », a-t-il déclaré dimanche, lors de son déplacement dans les Abruzzes.

Selon lui, « certains pays européens, la France en tête, n’ont jamais cessé de coloniser des dizaines de pays africains ». Di Maio estime également que la France qui « imprime une monnaie, le franc des colonies », dans « des dizaines de pays africains », finance ainsi sa dette publique. « Si la France n’avait pas les colonies africaines, parce que c’est ainsi qu’il faut les appeler, elle serait la 15e puissance économique mondiale, alors qu’elle est parmi les premières grâce à ce qu’elle est en train de faire en Afrique », a-t-il conclu.

Il a donc annoncé « une initiative parlementaire du M5S dans les prochaines semaines », impliquant notamment le gouvernement et les institutions européennes, visant « à sanctionner tous les pays qui ne décolonisent pas l’Afrique ».

Ce ne sont pas de simples paroles en l’air. Le vice-premier ministre italien Luigui Di Maio annonce que la France sera bientôt convoquée devant le Conseil de l’Union européenne pour être sanctionnée pour des crimes d’esclavage à l’origine de l’immigration.

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C’est d’abord le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini qui avait accusé Paris en octobre 2018, de renvoyer les migrants en Italie. « Maintenant, les temps ont changé et nous n’acceptons pas que des étrangers arrêtés en territoire français soient amenés en Italie sans que nos forces de l’ordre puissent vérifier leur identité ». 

Depuis janvier 2018 jusqu’en octobre 2018, la police française a mené plus de 45 000 procédures de refoulement, sur la côte, à Vintimille, ou en montagne, selon le ministère de l’intérieur français. Ce que dénoncent les associations de défense des migrants. L’Italie estime que c’est la France qui doit s’occuper des migrants, puisque c’est elle qui pille ses richesses.

« Maintenant, les temps ont changé et nous n’acceptons pas que des étrangers arrêtés en territoire français soient amenés en Italie sans que nos forces de l’ordre puissent vérifier leur identité. »

Depuis janvier 2018 jusqu’en octobre 2018, la police française a mené plus de 45 000 procédures de refoulement, sur la côte, à Vintimille, ou en montagne, selon le ministère de l’intérieur français. Ce que dénoncent les associations de défense des migrants. L’Italie estime que c’est la France qui doit s’occuper des migrants, puisque c’est elle qui pille ses richesses… »

Ce Blanc pur-sang de 32 ans, Luigi Di Maio ne connaît pas la colonisation. Il a un autre regard du monde qu’il voudrait voir juste. Il ne supporte pas la misère des Africains maintenus sous une colonisation déguisée. Les chefs d’États africains frileux ne lui emboîteront jamais le pas. Mais, il faut que tout Africain prenne son arme — la plume — pour accompagner Luigi Di Maio au front du combat pour la libération de l’Afrique ! « 


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