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Yaoundé : Des urines dans une marmite d’Okok sèment la panique

Selon les informations en circulation, la nommée Victorine Bikoe, une vendeuse d’Okok au quartier Mvog-Ada, a été vue dans une curieuse pratique qui consiste à « assaisonner » ses plats avec ses propres urines, avant de les proposer aux clients. C’est après le vol de son téléphone dans lequel se trouvait une vidéo la montrant à l’œuvre, qu’elle été mise à nu.

Dame Victorine Bikoe impliquée dans une affaire d'urine dans l'Okok à Yaoundé
Dame Victorine Bikoe impliquée dans une affaire d'urine dans l'Okok à Yaoundé

L’affaire jette du froid dans le dos. Victorine Bikoe, une commerçante de 26 ans, au quartier Mvog-Ada à Yaoundé a été filmée en train d’ajouter ses urines dans sa préparation d’Okok, un plat traditionnel camerounais très prisé dans la région du Centre.

La vidéo mettant en scène la jeune dame est devenue virale sur les réseaux sociaux depuis le 10 févier 2025. Selon les informations concordantes, la vidéo aurait divulguée suite au vol du téléphone de cette commerçante d’un autre genre. Depuis lors, cette dernière est introuvable. La dernière fois qu’elle avait été aperçue date vendredi de la semaine dernière, selon Canal 2.

Parmi ses clients, le choc est profond. « J’ai toujours suspecté quelque chose comme une attirance ici. Maintenant que nous avons vu cette vidéo, nous sommes choqués » ; « J’ai mangé ici quatre fois et c’était bon. Je ne connaissais pas qu’elle pissait dedans, même si mon ventre me faisait souvent mal ».

Selon les dire des riverains, depuis septembre 2024 que cette femme a ouvert son restaurant au lieudit Chapelle Mvog-Ada, les clients assidus se plaignent toujours des maux de ventre.

La restauratrice est domiciliée à 4km de Mvog-Ada, au quartier Anguissa. Son domicile a été encerclé lundi dernier par une foule en furie. Mais elle n’était pas là. « Seuls son mari et ses enfants étaient barricadés dans la maison », selon les informations de nos confrères de la chaîne verte de la ville de Douala. De son côté, le bailleur menace faire partir cette famille de son camp. « Personne ne peut accepter une telle personne dans sa maison. Je pense que dans les plus brefs délai, cette dame va partir », lance le propriétaire.

Pour approfondir :   Dérision : Les poubelles citées à Jean-Bruno Tagne, parmi les grandes réalisations du RDPC

Pour l’heure, la jeune dame mise en cause reste activement recherchée. Seule son arrestation pourrait permettre qu’elle donne les raisons de son acte.


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eto mila

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