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Zambo Anguissa : « Au Cameroun, je suis comme une idole pour les jeunes »

Le milieu de terrain camerounais est revenu sur son parcours difficile du Cameroun vers le football de très haut niveau en Europe dans une interview accordée au site de l’UEFA.

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Incertitude eu sujet du cas Zambo Anguissa (c) Droits réservés

Depuis plusieurs saisons, André-Franck Zambo Anguissa est l’un des piliers de l’équipe de Naples. L’international camerounais a été avec Victor Osimhen, Khvicha Kvaratskhelia, l’un des artisans du titre remporté par le club en 2023 après 33 d’attente. Au sein de la sélection camerounaise, Zambo Anguissa jouit également d’un statut de cadre. Vice-capitaine lors de la dernière CAN 2023 en Côte d’Ivoire, c’est lui qui a arboré le brassard en l’absence de Vincent Aboubakar. L’ancien marseillais est conscient de ce qu’il représente dans son pays.  « Je suis très heureux de ma vie actuelle, de ce que je représente. Quand vous allez au Cameroun, Zambo Anguissa est comme une idole pour les jeunes, c’est énorme pour moi. J’ai rêvé, il y a eu de grands joueurs qui m’ont fait rêver. Aujourd’hui, c’est moi qui fais rêver les jeunes et j’espère pouvoir continuer à les faire rêver. C’est ça qui est formidable dans le football, c’est qu’on peut inspirer les gens, et j’espère que c’est ce que je fais », a confié Zambo Anguissa lors d’un entretien avec UEFA.com, publiée le 10 mars.

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Les débuts à l’AS Fortuna

Le milieu de terrain de 28 ans a exprimé sa gratitude à l’endroit de son tout premier club, l’AS Fortuna de Mfou, à qui il doit tant. « Je ne pourrais pas parler de ma carrière dans le football sans évoquer l’AS Fortuna. Parce que le président, Roger Noah… d’une certaine manière, tout a commencé avec lui. Je l’ai rencontré par l’intermédiaire d’un homme aujourd’hui décédé, Dieu ait son âme, qui s’appelle M. Abessolo, et nous devons nous souvenir de cet homme parce qu’il a vraiment compté pour moi. Je dois souligner à quel point il a compté pour moi et continue de compter pour moi. C’est grâce à lui que j’ai rencontré coach Roger Noah, le président de l’AS Fortuna. Et si je parle de lui, c’est parce qu’il a insisté pour que je participe au tournoi du G8, organisé par l’agent Maxime Nana. Je n’aurais pas accepté sans M. Roger Noah. Je n’allais pas le faire. C’est vraiment un coup de chance que j’y sois allé », relate-t-il.

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Revue de presse 1

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Kessie 7

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